Culte du dimanche 07 juin 2020 
par les pasteurs Michel JORNOD et Marcel MBENGA
Jeu d’orgue
Cantique 35 – 19 « Pour que le jour qui se lève »
Pour que le jour qui se lève soit plus beau,
Pour que le ciel de nos rêves soit plus chaud
Et pour que la joie qui chante soit toujours dans notre vie,
O Seigneur, donne-nous ton Esprit, ton Esprit d’amour !
Pour que ton cœur brûle en nous comme un grand feu,
Pour que l’espoir illumine enfin nos yeux
Et pour que nos vies qui chantent soient lumière et vérité,
O Seigneur, donne-nous ton Esprit, ton Esprit d’amour ! 
Proclamation de la grâce
La grâce et la paix vous sont données de la part de Dieu notre Père et de Jésus-Christ, notre Seigneur, le Ressuscité.
Le Seigneur nous appelle. Le Seigneur nous rassemble. Le Seigneur nous unit. Il est présent parmi nous.
Nous venons des horizons bien divers. Portés par cette parole d’accueil de la part de notre Seigneur : « Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et chargés, je vous donnerai du repos. »
Père, nous te remercions pour ce jour et cette heure mis à part dans notre vie. Voici un temps de paix, d’écoute et de louange ; un temps où, par ton Esprit, nous apprenons à vivre en communion avec Jésus-Christ.
Amen.
Cantique 35 – 03 « Toi Saint-Esprit, lumière qui viens »
3. Toi, Saint-Esprit, présence de Dieu, Dans l’épreuve ou le bonheur des jours,
Seul tu nous éclaires et nous révèles, Dans l’amour du Père et la paix du Fils, Ta joie, Seigneur. 
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Nous sommes nombreux qui avons rêvé de ce jour, où physiquement en un même lieu, et en l’occurrence dans ce temple, nous pourrions nous réunir à nouveau pour rendre un culte à notre Seigneur. Ce jour est arrivé et la réalité est bien loin de notre imagination. Et pourtant, nous nous savons unis à tous ceux qui au loin, dans d’autres lieux de culte, mais aussi tous ceux qui participent à ce culte à travers les divers écrans. 
Nous avons aussi appréhendé cette journée d’ouverture car nous savions pertinemment que les règles requises pour nous retrouver ici seraient difficiles à vivre. Et nous voilà ensemble malgré tout dans le respects de ces mesures et en communion entre nous et avec tous ceux qui sont au loin et que le Seigneur appelle. 
Nous avons vécu un temps compliqué. Comment ne pas avoir une pensée pour tous ceux qui ont beaucoup souffert et qui sont encore marqués par cela : Impossibles visites ou visites très encadrées ; Difficiles organisations des obsèques, solitude accentuée, cohabitation compliquée, précarité accentuée, et j’en passe. 
En même temps, nous avons pu expérimenter, malgré la distanciation physique, une réelle communion entre nous et ouverte à tous. Et nous pouvons espérer que cette communion vécu, découverte ou redécouverte ne soit pas qu’une parenthèse dans nos vies. Et ces liens tissés, renforcés demeurent à jamais une certitude inébranlable en nous. 
Dieu notre Père, Nous te louons : tu nous aimes et nous sommes tes enfants. 
Nous te louons pour Jésus-Christ : il a proclamé la bonne nouvelle du Royaume. 
Nous te louons pour l’Esprit Saint : il nous rassemble malgré nos différences, et fait de nous un seul peuple, ton peuple. 
Nous te louons pour ce jour qui nous fait entrer dans la joie de ton Règne.
Et laissons-nous encore accompagné à l’orgue pour ce temps de louange avec ce cantique « Gloire, gloire à l’Eternel.
Cantique : Gloire, Gloire à l’Eternel
5. O Dieu ! que tes rachetés Toujours chantent les bontés Toujours chantent les bontés De Celui qui leur pardonne ! Gloire, gloire à l'Éternel ! Gloire, gloire à l'Éternel ! Ce cantique solennel Montera jusqu'à son trône !
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Prière de repentance
Assurés de l’amour de Dieu en Jésus-Christ, reconnaissons notre péché. 
En ce premier jour de la semaine, nous regardons vers toi, Dieu d’amour. 
Tu nous as donné le pain de chaque jour, tu nous as réjouis par ta création, 
tu nous as assurés de ta miséricorde par le Christ, 
mais nous ne t’avons pas dit notre reconnaissance. 
Pardonne-nous. 
Tu nous as fait entendre des nouvelles de toute la terre, 
tu as mis devant nos yeux la souffrance de nos frères et de nos sœurs, 
mais nous lui sommes souvent restés insensibles. 
Pardonne-nous. 
Tu nous as accompagnés dans notre chemin quotidien, 
mais devant les soucis, nous avons été gagnés par la crainte 
et devant la tâche que tu nous indiquais, nous n’avons pas su t’obéir. 
Pardonne-nous.
Accorde-nous, Père, des cœurs reconnaissants, attentifs, et disponibles pour ton service. 
Amen.
Cantique 35 – 17 «  Viens, Esprit du Dieu vivant »
 Viens, Esprit du Dieu vivant, Sois le maître en moi ! (Bis)
Sonde-moi, courbe-moi, Brise-moi, façonne-moi !
Viens, Esprit du Dieu vivant, Viens et règne en moi !
Parole de grâce 
“Quand les montagnes s’effondreraient, dit Dieu, Quand les collines chancelleraient, 
Ma bonté pour toi ne faiblira point et mon alliance de paix ne sera pas ébranlée. 
Je t’aime d’un amour éternel, et je te garde ma miséricorde”. 
Et voici comment Dieu a manifesté son amour :
“Il a envoyé son Fils unique dans le monde afin que, par lui, nous ayons la vie”. 
Que Dieu nous mette au cœur l’assurance de son pardon et qu’Il nous donne de marcher vers son Royaume. 
Chantons notre reconnaissance avec ce 
Cantique 41 – 23 « Remplis d’amour et de reconnaissance »
1. Remplis d’amour et de reconnaissance,
Nous t’adorons dans ta grandeur immense. 
Nous te louons, notre Dieu, notre Roi,
Nous te chantons du cœur et de la voix. 
5. A toi, grand Dieu, la gloire et la puissance,
L’honneur, le règne et la magnificence,
A Jésus-Christ, notre libérateur,
A l’Esprit saint, notre consolateur. 
 Volonté de Dieu 
Pardonnés et libérés, écoutons ce que Dieu veut pour nous et nous donne la force de faire : 
“Vous avez été appelés à être libres. 
Seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre selon les désirs de votre propre nature. 
Au contraire, laissez-vous guider par l’amour pour vous mettre au service les uns des autres. 
Car toute loi se résume dans ce seul commandement: 
aime ton prochain comme toi-même.
Cantique 45 – 08 « Tu m’as aimé Seigneur »
1. Tu m'as aimé, Seigneur, avant que la lumière Brillât sur l'univers que ta main a formé, Avant que le soleil Eveillât sur la terre, Tout ce qui fut par toi semé dans  notre humble poussière, Déjà, mon Dieu, tu m'as aimé ! Mon Dieu, tu m'as aimé !
4. Tu m'aimeras toujours ! Ni la mort, ni le monde, ne peut me séparer, mon Dieu, de ton amour : Où le mal abonda, La grâce surabonde ; Permets Seigneur, qu’au long des jours Tout mon cœur te réponde Et que je t’aime sans détours, Toi qui m'aimes à toujours !
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Lectures bibliques
Exode 34, 4 – 9 
4 Moïse tailla deux tablettes de pierre, semblables aux précédentes. Tôt le lendemain matin, il monta sur le Sinaï, conformément à l'ordre du Seigneur ; il emportait les deux tablettes. 
5 Le Seigneur descendit dans la colonne de nuée et se tint là, à côté de Moïse. Il proclama son nom : « Le Seigneur ». 
6 Puis il passa devant Moïse en proclamant encore : « Je suis le Seigneur ! Je suis un Dieu plein de tendresse et de bienveillance, lent à la colère, riche en bonté et en vérité. 
7 Je manifeste ma bonté envers les êtres humains jusqu'à mille générations, en supportant les péchés, les désobéissances et les fautes ; mais je ne tiens pas le coupable pour innocent, j'interviens contre celui qui a péché, contre ses enfants et ses descendants jusqu'à la troisième ou la quatrième génération. »
8 En toute hâte, Moïse se jeta à terre pour adorer le Seigneur, 9 puis il s'écria : 
« Seigneur, puisque tu m'accordes ta faveur, je t'en supplie, accompagne-nous. Je sais bien que ces gens sont rebelles, mais pardonne nos péchés et nos fautes, et considère-nous comme ton peuple. »
Jean 3, 16 – 18 
16 Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. 18 Celui qui croit en lui n'est pas jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. 
Prédication par le pasteur Michel JORNOD
En France les temples qui arborent en lettres capitales le premier des versets que nous venons de relire sont très nombreux "Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils, son Unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle".
Ces paroles se sont inscrites d'emblée au coeur de la Réforme et ce verset pourrait bien constituer la clé d'une lecture protestante et même chrétienne de l'évangile.
Les trois versets que nous méditons ce matin font partie de la réponse de Jésus à Nicodème.
Nicodème, Pharisien et notable juif vient trouver Jésus et d'une certaine manière le reconnait comme le Seigneur en disant : "tu es un maître qui vient de Dieu, personne ne peut opérer les signes que tu fais si Dieu n'est pas avec lui".
Je ne vous propose pas ce matin de reprendre tout l'échange entre Jésus et Nicodème, mais les trois versets que nous avons relu tout à l'heure.

Je voudrais d'abord remarquer qu'un don ou un cadeau, cela se reçoit et s'accueille
Un don, cela ne se refuse pas. Un don non reçu perd son sens. Il lui faut un accueil pour que le don reste don.
Quand je donne ou quand je reçois un don se crée entre celui qui me donne et moi - ou tout autre destinataire - une relation. Aujourd'hui, à la suite de Nicodème, croyant qui cherchait le chemin, Jésus nous rappelle qu'il est don de Dieu pour que nous vivions... 
Et notre réponse, celle qui fait que ce don de Dieu est don, c'est notre foi.
La foi n'est pas simplement croyance en Dieu, acceptation que Dieu existe. Elle est, nous invite l'évangile aujourd'hui, accueil du cadeau de Dieu, accueil de ce Fils qui nous est donné. Accueil de Dieu qui a tant aimé le monde.
A propos du monde, une précision importante ici :
Le monde dans Jean est décrit de manière très précise. C'est une réalité qui s'oppose constamment à Jésus.
Dès le début de l’évangile, Jean nous dit que "le Seigneur est venu dans le monde, mais le monde ne l'a pas reçu". Au chapitre 7 (v7), Jésus précise bien à ses frères que le monde le déteste et dans les derniers discours de Jésus le même monde se réjouit de la mort de Jésus
D'où l'importance des versets que nous relisons :
Dieu n'aime pas le monde parce que ce monde est "aimable" - Jean est très clair par ailleurs il n'y a là aucune ambiguité. Si Dieu aime ce  monde ce ne peut-être à cause du monde mais parce que Dieu est amour.
Il n'y a pas non plus d'ambiguité sur le don du Fils.
Dieu n'échange pas son Fils contre une conversion ou un changement du monde. Il ne marchande pas. Il n'entre pas dans une négociation de donnant-donnant : Il donne son Fils unique parce qu'il est Dieu et que l'amour est son être même.
Le don que Dieu fait au monde est un don qui met en mouvement.
Dieu ne nous manipule pas il nous met en route pour passer de la perte - périr nous dit l'évangiel - à la vie éternelle.
Attention en parlant de vie éternelle, soyons clair : Il ne s'agit pas simplement de passer d'une vie de mortels à l'immortalité au sens où on l'entend un peu communément.
Nous sommes appelés à  une vie enracinée en Dieu, ancrée, articulée avec l'éternité de Dieu
Ou pour le dire autrement nous pouvons relire l'évangile comme nous proposant de vivre un lien si fort avec Dieu - exprimé par cette idée d'enracinement - que toute notre vie soit conduite, guidée, éclairée par l'amour de Dieu et le don du Fils.
Cela parait difficile à imaginer ? Songeons simplement à la transformation que nous constatons souvent de gens qui sont amoureux... Il suffit de regarder un jeune couple qui passe dans la rue ! On peut alors imaginer que quand c'est l'amour de Dieu lui-même qui intervient cela peut transformer et donner du sens à une vie.
Et dans ce contexte, nous pourrons mieux entendre que la vie éternelle ne se limite pas à la vie après la mort mais transforme même notre existence avant la mort. 
La vie éternelle dit autrement, c'est vivre en fils et vivre en filles de Dieu ce qui donne à coup sûr du poids, du sens et une direction à nos existences.
Accueillir le don de l'amour de Dieu,
Passer de la mort à la vie en  fils ou en fille de Dieu...
Il nous reste une troisième réalité à partager :
"Dieu n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde mais pour que le monde soit sauvé par lui"
Vous vous souvenez certainement  de Jean-Baptiste dans les évangiles synoptiques. Il annonce un messie qui va juger et vanner et utiliser tout de suite le van qu'il a en main et  brûler les méchants de paille.
Ici, nous entendons presque le contraire.
La mission du Messie se décale, il n'est pas envoyé pour juger mais pour sauver.
Comment comprendre ce deplacement ?
Si Dieu ne juge pas, qui le fera ?
Le propos n'est pas tout à fait nouveau.
Il trouve quelque écho dans le dernier discours de Moïse au seuil de la Terre Promise juste avant sa mort . Souvenez-vous : Dieu dit à son peuple par la bouche de Moïse "j'ai mis devant toi la vie et la mort, la benediction et la malédiction, choisis la vie afin qu tu vives." (Dt. 30,19).
Dieu ne juge pas, il sauve !
Le salut est probablement de cet ordre.
Dieu sauve. Nous sommes donc libérés du jugement et appelés à accueillir ce don de l'amour de Dieu.
Dieu nous libère et ce faisant et en même temps, il nous donne un sens, un cap, un projet dont il donne l'accent dominant en se présentant comme le Dieu qui aime.
Résumons un peu :
Accueillir un don de Dieu, entrer dans une relation entre donateur et récipiendaires
Etre appelés à la vie éternelle, une vie avec du sens, une vie de fils  et de filles du Dieu amour
Etre sauvés et libérés du jugement pour avancer
Je le dirai autrement de manière un peu arbitraire en 3 mots ou expressions : entrer en relation, aimés, libérés pour avancer
3 formules qui me paraissent nécessairement trouver écho dans ce que nous vivons aujourd'hui.
Commençons par le lointain, nous sommes, j'en ai la conviction appelés à nous soucier de la terre sur laquelle nous demeurons et surtout des hommes qui y vivent, les débats sur le partage et le respect de la création nous concernent, même si l'Ecriture nous appelle à utiliser notre intelligence, nos dons, pour savoir que faire. L'Ecriture ne nous donne pas de recettes toutes faites mais peut nous inviter à nous interroger.
Continuons par nos relations avec les autres. Nous sommes fils et filles de Dieu, frères et sœurs, et c'est le cas avec tous ceux que nous croisons ou cotoyons. Pendant le confinement, bien des rencontres ont eu lieu dans un même immeuble ou dans une même rue, des services mutuels ont été rendus, les médias s'en sont largement fait l'écho. Ne pourrait-on pas continuer, conserver les attentions aux uns et aux autres, les liens que se sont créés, travailler à une société plus fraternelle.
Poursuivons dans  notre Eglise. Le confinement a stoppé net les rencontres, les réunions,  les cultes  à Dijon, à Beaune et dans le reste de la dissémination. Mais dans un même temps j'ai entendu parler de beaucoup d'échanges téléphoniques, de nouvelles prises régulièrement auprès des isolés et des plus âgés. Nulle doute que cela pourra se poursuivre.
Par ailleurs les cultes ont continué et ont à distance rassemblé beaucoup plus de monde qu'à l'ordinaire.... Nous avons continué à nous retrouver de chez nous et porté l'évangile plus largement. Une autre manière de partager l'amour de Dieu. Comment poursuivre et amplifier le témoignage ainsi rendu.
A nous d'imaginer, de réfléchir et d'avancer conduit par l'Esprit de Dieu.
Jeu d’orgue
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Confession de foi
Eclairés et rassemblés par la Parole de Dieu, nous affirmons notre foi : 
Nous croyons en Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, 
qui s’est fait homme pour que nous ayons pardon, joie et salut. 
Nous croyons qu’il est mort et ressuscité 
pour nous donner la victoire sur la mort et l’assurance de notre résurrection. 
Nous croyons qu’il viendra dans la puissance et la gloire, 
comme il est venu dans la faiblesse et l’humilité. 
Par lui, nous croyons en Dieu notre Père,
qui nous prend pour ses enfants et nous aime comme Il aime Jésus-Christ. 
Nous croyons en l’Esprit Saint qui agit en notre esprit 
et nous atteste que nous sommes enfants de Dieu, 
qui guide l’Eglise par sa Parole et nous révèle la gloire de Jésus-Christ. 
Nous croyons l’Eglise universelle, visible et invisible, pécheresse et pardonnée.
Nous croyons que nous sommes tous liés à Jésus-Christ. 
Nous croyons que le Royaume de Dieu est notre commune espérance.
Amen.
Annonces :
  1. Obsèques au temple ce mercredi 10 juin à 15h de François Moreau (71 ans)
  2. Culte dimanche prochain
  3. Pas de culte à Beaune tout ce mois-ci. 
  4. Et à Fain-lès-Moutiers, il faudra attendre certainement le mois de septembre.
  5. Une pensée pour tous ces couples qui ont reporté leur mariage.
Prière d’intercession
Seigneur Dieu, dont le mystère dépasse notre compréhension,
reçois notre prière.
Dieu, créateur du monde, tu es le gardien de notre terre et de ses habitants. 
Établis la paix entre les nations. 
Que les responsables des peuples servent la vie et protègent ce que tu as créé. 
Seigneur, nous te prions. 
Jésus Christ, Seigneur de l’Église, Lumière du monde qui nous rend vainqueur
tu rassembles ton peuple dans l’amour et la réconciliation. 
Aide nous à être des artisans de justice et de paix, 
des témoins de ta mort et de ta résurrection. 
Seigneur, nous te prions. 
Esprit saint, souffle de vie, viens en aide à celles et ceux qui sont en quête de sens.
Accorde-leur la lumière de la foi et allume en eux le feu de ton espérance
Seigneur, nous te prions. 
Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit,
Donne aux malades l’espérance qui illumine leur cœur. 
Accorde à ceux qui les entourent force, patience et amour. 
Accorde à ceux qui pleurent un être cher ta lumière éternelle.
Fortifie leur confiance et réconforte-les.
Rends-nous capable de leur apporter consolation et espérance.
Et nous rassemblons notre prière et nous te disons :
Notre Père qui es aux cieux
Que ton nom soit sanctifié, 
Que ton règne vienne, 
Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. 
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour ; 
Pardonne-nous nos offenses 
Comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. 
Ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du mal, 
Car c’est à toi qu’appartiennent : 
Le règne, la puissance et la gloire, aux siècles des siècles
Cantique 34 – 30 « Seigneur Jésus, qui es venu » 
1. Seigneur Jésus, qui es venu Habiter sur la terre,
Nous t’adorons et nous t’offrons Notre ardente prière. 
4. O Jésus-Christ, pour nous tu pries Ton Père et notre Père ;
Aime et reçois, ô notre Roi, Nos chants et nos prières !
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Bénédiction 
Que Dieu nous bénisse et nous garde dans sa paix pour que notre souvenir ne soit orienté qu’en faveur des combats à venir pour nous permettre de bâtir un monde meilleur. 
Qu’il nous accorde de vivre toujours dans la communion qui unit toutes nos fragilités, nos angoisses, nos peurs et qu’il nous fortifie.
Qu’il mette dans nos cœurs et nos bouches, la parole qui relève et sauve, les mots risqués qui ouvrent à un commencement nouveau.
Amen.
Jeu d’orgue
Offrande - Sortie